C'est le moteur qui m'avait intéressé, vraiment très réaliste ! Une fois le moteur terminé et performant, je me lançai dans la construction du GULNARE mais au 1/30 ème, de Bernard RETIF. Construction interrompue par mon départ à HAO,. Commencé en 1996, il fut achevé en 2005 et porte le nom de la terre où nous avons élu domicile : APOMATAI.
C'est le moteur qui m'avait intéressé, vraiment très réaliste ! Une fois le moteur terminé et performant, je me lançai dans la construction du GULNARE mais au 1/30 ème, de Bernard RETIF. Construction interrompue par mon départ à HAO,. Commencé en 1996, il fut achevé en 2005 et porte le nom de la terre où nous avons élu domicile : APOMATAI. |
| Pour réaliser ce bateau, je me suis servi de deux séries de plans:
. la première de Bernard RETIF (plan MRB 1128) pour les formes et pour l'implantation de la machinerie ;
. la seconde venue de BOLOGNE pour les détails. (lien et adresse dans Doc et liens)
|
|
Toujours avec le même souci du nettoyage après une navigation, tout est démontable. |
|
|
Pour l'instant, ce sont encore des ajustages. Essai du positionnement de la machinerie.
A refaire, j'aurais allongé un peu le support du réservoir à gaz, cela aurait facilité les manipulations ultérieures. |
|
Ajustage des axes des roues. Une fois la machinerie enlevée, on peut glisser les capots de l'extérieur vers l'intérieur . |
|
| La coque a été peinte, il reste à fixer les lisses.
Un gros morceau, c'est de réaliser parfaitement, pour préserver l'aspect maquette, le glissement des capots de roues. L'un est posé et maintenu par une vis. |
| Le couvercle du réservoir à gaz est tout simplement le guindeau. Les voiles sont obtenues par la méthodes des fils collés. Vue de face, la machinerie. |
|
|
Vue sur la machinerie. Toutes les cotes du moteur de Bernard RETI ont été réduites à 0.8.
Le moteur composé de deux cylindres oscillants montés verticalement donne, au ralenti, environ 100 tours-minutes, ce qui est très réaliste. Toujours les mêmes problèmes de tournage. Aussi les pistons sont devenus des pistons à coupelles de téflon.
Pour placer l'ensemble vapeur, il faut décrocher quelques haubans d'un côté, puis, les pleins faits, glisser le réservoir vers l'avant, poser (la chaudière s'encastre dans son logement), vérifier la bonne position des extrémités du vilebrequin, y encastrer les axes des roues, bloquer la bague qui les solidarisent puis, fixer les roues sur leur axe par en-dessous ... Ouf ! |
|
Le réservoir à gaz.
Toujours la même technique traitée ici différemment, pour obtenir, après l'allumage de la chaudière, une flamme identique à celle déterminée au banc.
|
| Le capot de la chaudière et la cheminée. Le tout en laiton. Pour garder l'aspect maquette, pas d'entourage des ouvertures.
Tout a été ajusté afin qu'on aperçoive le moins possible les joints. |
|
|
Un passage difficile: la roue gauche tourne librement (vis mal serrée sur l'axe) tandis que celle de droite pousse. Chavirage évité de justesse à cause d'un méchant clapot venant du large. Une quille supplémentaire, placée avant la navigation a probablement sauvé APOMATAI.
Pour la quille supplémentaire: deux tiges filetées viennent se placer dans deux écrous collés dans la quille, deux entretoises écartent de quelques centimètres une barre creuse emplie de gros plombs de pêche. |
| la construction de Thierry HERAULT | Bien agréable que de recevoir des photos d'une réalisation en cours et qui promet d'être exceptionnelle. |
| | | la coque
| |
| |
| les roues et leur montage |
| | | moteur et enveloppe de chaudière construction du moteur dans | cet album |
| | |
| restauration | Deux de mes chats ont réalisé bien des dégâts à cette maquette ... et il a fallu revoir tout le gréement.
L'occasion de la découvrir sous un autre jour et de voir sa machinerie repartir du premier coup après cinq années d'oubli sur une étagère !
|
| |
| album terminé ...Des erreurs ? Des commentaires ? Des questions ? ... écrivez-moi |
| | | | |
|
|