 Pour un véhicule, il est pratiquement impossible de le faire démarrer directement : la force opposée au moteur est trop importante. On y arrive en lançant d'abord le moteur alors que les roues sont en position de débrayage. Quand le moteur tourne, si la démultiplication est bien choisie, on n'a aucun problème pour embrayer l'essieu ...
Problème : la position de l'axe du moteur n'est pas toujours la même et il faut adapter la liaison de la transmission. |
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 premier montage | | celui du camion Meccano pour lequel la liaison entre le moteur et l'essieu se fait en deux temps (aucune incidence de la mécanique d'embrayage sur l'essieu) et dont la réalisation complète se trouve dans cet | | album |
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Avec le monocylindre qui l'équipe, il est pratiquement impossible d'envisager un démarrage direct. La résistance au démarrage est trop forte pour lancer le moteur et il est impossible de lancer le moteur en poussant à cause de la transmission.
De plus se mettre à quatre pattes en attendant le bon vouloir du moteur ne convient plus à mes reins ...
Une démarche :
. placer le camion en position de départ
. mettre sous pression
. vérifier que la transmission est en position de débrayage
. lancer le moteur et ... embrayer. |
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 Position de débrayage :
l'axe est immobilisé par 2 bagues. La roue de chant et la roue d'entraînement glissent sur cet axe et un ressort les maintient en pression.
Une plaque de laiton avec un U (un L serait bien suffisant) servira de guide : un levier coulissant permet d'éloigner la roue de chant du pignon moteur.
Cette plaque est fixée par la vis de la bague de gauche sur la photo : une rondelle est nécessaire pour que le guide puisse coulisser . |
|  Position d'embrayage :
on descend la tige de commande et le ressort accomplit son office en venant plaquer la roue de chant contre le pignon.
Et, normalement ... le camion se met en marche ! |
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deuxième montage | | Cette fois, l'essieu se trouve en prise directe lors de l'embrayage et on ne peut pas utiliser de ressort sinon la compression va agir latéralement sur l'essieu et ralentir considérablement la rotation des roues. Il faut donc un autre système sans utiliser de ressort. |
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 | | roue de chaîne avec ergot : vis en acier M1.6 |
|  | | roue de chant modifiée et essieu avec lumière |
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 | | position de débrayage |
|  | | position d'embrayage |
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Il existe des moyens pour remplacer l'ergot |
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Ici on utilise à la place de l'ergot, un engrenage Meccano de 25 dents dont le contact est parfait avec la roue de chant de 25 dents également.
Pour les pièces détachées de Meccano voir cette adresse :
http://www.meccano-mr-productions.com/fr/ |
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On peut aussi fabriquer un disque d'embrayage : du carton pour prendre les empreintes, et perçages de 25 trous de 1.8 de diamètre - pas de chanche, le plateau diviseur ne compte que 24 graduations ... |
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Le disque est en laiton de 22 de diamètre et de 2 d'épaisseur. Une fois l'empreinte obtenue, on la fixe sur le disque avec de la colle blanche de menuisier non diluée.
Si on se plante un peu, on peut reprendre les empreintes du perçage avec une fraise conique (perceuse à main).
Ce disque servira pour un autre montage où il sera soudé à l'étain sur une roue dentée en laiton plus grande que la roue de chaîne. |
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 à voir égalementle montage de Henry HARKER sur sa Stanley.
D'autres photos dans cet |
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 album qui se complétera au fil des réalisations et de vos idées ...Des erreurs ? Des commentaires ? Des questions ? ... écrivez-moi |
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